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24h Nürburgring – Quelques paroles de pilotes avant la course

Après les essais libres et la première séance d’essais qualificatifs des 24h du Nürburgring, ce vendredi matin était l’occasion d’aller recueillir les avis de quelques pilotes et leurs premières impressions.

Ainsi, Marcel Fässler nous a déclaré qu’il est satisfait des premiers tours de roues qu’il a effectué, même si il n’a jamais pu faire un tour rapide en raison des codes 60 (slow zone) qu’il a pu rencontrer lors de ses différents tours de piste. D’autre part, lorsque l’on évoque les possibilités de pluie (prévue ce dimanche), le Schwyzois se veut confiant et en vient même à l’attendre en raison des pneumatiques qui équipent sa voiture (Michelin contrairement aux autres Audi en Dunlop) qu’il connaît très bien.

Nico Müller est confiant au vu des performances affichées par les deux voitures lors des essais. Engagés sur deux voitures, dans deux teams différents, le Bernois avoue par contre que c’est un peu difficile parfois de passer d’une équipe à une autre, car le management est différent d’une équipe à l’autre. D’autre part, quand on évoque la pluie, il nous avoue ne plus avoir roulé dans ces conditions sur le tracé depuis longtemps, mais également ne pas beaucoup connaître les pneumatiques Dunlop sur piste mouillée. Enfin, quand on parle du circuit, il nous évoque ses lieux préférés, dont Kallenhard, section très rapide mais aussi très technique.

Le Tessinois Ronnie Saurenmann n’a bien entendu pas les mêmes ambitions que les deux pilotes officiels Audi. Engagés sur l’une des Audi de Car Collection, son objectif, avec ses coéquipiers, est de rejoindre l’arrivée tout en prenant du plaisir.

Patrick Pilet nous parlait des difficultés de la piste sous la pluie et, outre les flaques d’eau en raison, les inscriptions des spectateurs sont un réel problème, car les marques de peintures deviennent, alors très glissantes.

Enfin, Romain Dumas nous évoque la chance, qui est un incontournable de cette course. En effet, le trafic et les différences de performances entre les pilotes et les différentes catégories de voitures font de cette course une « petite loterie ». Et le pilote français est bien placé pour en parler, puisqu’une Clio lui était rentré dedans en fin de course, le pilote de cette dernière passant le bonjour à ses mécaniciens devant les stands au lieu de regarder la piste.

Crédit photo : Jean-Baptiste Lassaux/Sport-Auto.ch]]>

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